vendredi 4 septembre 2009

Oups, ca y est, mon contrat se termine.
C'est le grand retour de la recherche d'emploi.

Aujourd'hui, en lisant le blog d'Alexiane et ses démêlés avec le téléphone noir, il m'est revenu en mémoire cette anecdote :
Je dépendais, à l'époque, de l'agence des ASSEDIC bidule (parce que j'en ai fait plusieurs, ma catégorie socio-professionnelle restant mal définie pour eux comme pour moi). Je voulais qu'on m'explique clairement le système de calcul de mon indemnisation.
A cette époque, je pensais vraiment que ça se passait mieux quand on se pointait là-bas sans rendez-vous.
J'arrive au guichet : "Aaah mais non Madame, on ne peut pas nous répondre, nous. Il faut que vous téléphoniez. Il y a un téléphone là-bas".
Oui, là-bas, dans la grande pièce qui fait salle d'attente, pleine de gens qui attendent et de portes fermées.
J'avise un téléphone, juste à côté d'un banc où attend un jeune homme et un bébé braillard. Super, la confidentialité.
Je téléphone donc, une dame me répond, je pose ma question le plus discrètement possible et là, que me répond-elle?
"Ah mais vous êtes dans l'agence bidule, moi aussi, j'entends le bébé qui pleure de l'autre côté de la porte!"

?


" Mais on peut pas se voir alors?"
" Non, ça doit se faire par téléphone."


...


Donc, on a fait ça par téléphone.

1 commentaires:

Vincent 9 septembre 2009 à 15:04  

J'ai peur des situations kafkaïennes, j'vous ai dit !

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